Gâteau étagé aux fraises et canneberges

Ce gâteau en tant que tel est tout simplement un gâteau au beurre. C’est le gâteau blanc que maman cuisinait plusieurs fois par semaine quand j’étais petite. Dans les recettes de famille, il s’appelle gâteau à la Jeannette, mais sa provenance est LE livre de cuisine des sœurs de la congrégation Notre-Dame. Ce livre intitulé « La cuisine raisonnée » a été publié la première fois en 1919 pour servir comme guide dans le cours d’arts ménagers donné à l’époque par les religieuses. Le livre vient d’être récemment réédités chez Fides pour souligner son 100e anniversaire, en version abrégée.

Ingrédients

• ½ tasse de beurre.
• 1 tasse de sucre.
• 2 œufs.
• 1 ½ tasse de farine.
• 2 ½ cuil. à thé de poudre à pâte.
• 1 pincée de sel.
• ¾ tasse de lait.
• Essence au goût.

Préparation

1. Chauffer le four à 375 °F (190 °C).
2. Graisser et enfariner deux moules ronds.
3. Tamiser la farine, la poudre à pâte et le sel.
4. Crémer le beurre, et y ajouter les œufs.
5. Bien battre jusqu’à l’obtention d’un mélange bien lisse.
6. En alternant, ajouter la farine et le lait.
7. Diviser la pâte dans les deux moules et cuire environ 30 minutes.
8. Laisser refroidir sur des grilles.
9. Couper en deux chaque gâteau.

Glace à la fraise et canneberges

Ingrédients

• 450 g de fromage Mascarpone.
• 500 gr de yogourt aux fraises 8 % de matière grasse.
• 2 tasses de fraises.
• 2 tasses de canneberges.
• Sucre au goût.

Préparation

1. Cuire les fraises et les canneberges jusqu’à ce qu’elles se défassent.
2. À l’aide d’un mélangeur ou un robot, liquéfier les fruits.
3. Ajouter le fromage mascarpone et le yogourt.
4. Goûter et ajouter du sucre au goût.
5. Refroidir avec de la glace.
6. Étendre sur chaque étage et glacer tout autour.
7. Décorer avec les fruits que vous aurez sous la main.
8. Servir avec un coulis de fraise.

L’utilisation de la canneberge (aussi appelé atoca ou ataca) donne un goût distinctif à ce gâteau. Ce dessert est léger et très peu sucré. Il fera les délices de ceux qui n’aiment pas les desserts, parce que trop bourratifs. Vous m’en donnerez des nouvelles.